Enceintes portatives et puissance des sonorités graves

Les nouvelles technologies d'amplification des musiques permettent d'obtenir un impact sonore dans les fréquences graves qui n'existait pas il y a 10 ans.

Les appareils sont désormais compacts et endurants. Leurs usages de manière informelle est devenu courant.
Dans les parcs, au coin d'une rue, sur la plage, en se promenant, etc. chacun peut engendrer une enveloppe sonore puissante dont ne subsiste, à grande distance, que le spectre des fréquences basses.
Cette présence sonore au sein de l'espace commun n'est visée par aucune loi d'encadrement. Seuls des arrêtés localisés, de Maires ou de Préfets, interdisent "à-priori" la sonorisation de l'espace publique.

Je souhaite que l’État reconnaisse la notion globale de "pollution sonore" et qu'il reconnaisse à chacun le droit de disposer d'un espace sonore neutre et non privatisé.

Les musiciens de rue ne sont pas visés par cette pétition.

Les fréquences basses des enceintes portatives, leur capacité à s'accaparer l'espace commun pour une satisfaction privée, devraient légitimement faire l'objet d'une interdiction "à-priori".