Référendum d'initiative citoyenne pour la sortie de la France de l'Union européenne et de l'euro : oui ou non ?
Initiative citoyenne
Référendum d'initiative citoyenne pour la sortie de la France de l'Union européenne et de l'euro : oui ou non ?
Nous, citoyens français, demandons l'organisation immédiate d'un référendum national clair et contraignant : Voulez-vous que la France quitte l'Union européenne et l'euro pour retrouver sa pleine souveraineté monétaire, budgétaire et législative ? Oui ou non.
Sans ambiguïté, sans renégociation qui n'aboutit à rien.
Pourquoi ce référendum s'impose-t-il ?
Parce que l'Union européenne nous coûte cher, nous bride et nous prive de notre souveraineté. Voici les faits, chiffrés et irréfutables :
1. Un coût financier exorbitant : nous payons plus que nous ne recevons. En 2023, la France a versé 93 milliards d'euros au budget de l'UE, mais n'en a récupéré que 76,7 milliards. Résultat : une contribution nette de 16,3 milliards d'euros (source : calculs Eurostat et Cour des comptes européenne, confirmés par Statista et Euronews, décembre 2024).
Nous sommes le deuxième contributeur net après l'Allemagne (25,6 milliards). Ces milliards financent des projets ailleurs-en Pologne, en Roumanie-pendant que nos routes, nos écoles et nos hôpitaux manquent de fonds. En 2024, ce trou net grimpe à plus de 12 milliards (Visual Capitalist, novembre 2024). Sortir libérerait ce cash pour la France : imaginez 16 milliards pour relancer nos industries ou nos agriculteurs, sans passer par Bruxelles.
2. Une perte de souveraineté qui étouffe notre économie et nos citoyens. L'UE impose ses règles sans que nous puissions voter directement. Exemple concret : la Politique Agricole Commune (PAC) et le Pacte Vert européen. En 2024, nos agriculteurs-qui représentent 20% de la production agricole européenne-sont asphyxiés par des normes environnementales strictes : réduction de 50% des pesticides d'ici 2030, quotas sur les engrais, et subventions conditionnées à des pratiques vertes (source : Commission européenne, Green Deal 2024).
Résultat ? Des coûts en hausse de 20-30% pour nos fermes, des faillites en cascade, et des manifestations massives : en janvier-février 2024, plus de 10 000 tracteurs ont bloqué les routes en France contre ces règles (The Guardian, février 2024).
Sans compter l'accord Mercosur, en négociation, qui inonderait nos marchés de viande sud-américaine à bas prix, sans les mêmes normes sanitaires (protestations FNSEA, novembre 2024).
Bruxelles décide, Paris subit.
Autres exemples de perte de souveraineté en 2024 :
- Monétaire : L'euro nous empêche de dévaluer pour booster nos exportations. Résultat : déficit commercial chronique à 100 milliards d'euros/an (Banque de France, 2024).
- Migratoire : Schengen nous force à gérer 100 000 demandes d'asile/an sans contrôle total des frontières (HRW World Report 2024), pendant que nos services sociaux craquent.
- Énergétique : Les normes UE sur le nucléaire (taxonomie verte) freinent nos 56 réacteurs, qui couvrent 70% de notre électricité, au profit de l'éolien intermittent (Conseil d'État, Étude Souveraineté 2024). La France, cinquième économie mondiale, est devenue la vache à lait de l'UE : dette à 111% du PIB, dépenses publiques à 57% (INSEE, 2024), et une croissance anémique à 0,9%.
Pendant ce temps, nos cerveaux fuient vers les États-Unis ou la Suisse, lassés des 35-40k euros/mois de primes pour les technocrates de Bruxelles (Commission européenne, salaires 2024).
Nous ne voulons plus être des citoyens de seconde zone. Un Frexit ordonné-avec transition de 3-5 ans pour les échanges-nous rendrait notre pouvoir : accords bilatéraux directs (comme la Suisse avec l'UE), franc dévalué pour relancer l'export, frontières sécurisées, et 16 milliards/an pour nos priorités.
Les Français ont toujours rebondi : après 1945, après 2008. C'est le moment. Signez pour ce référendum. Exigeons la démocratie directe. La souveraineté n'est pas négociable
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