Réforme de simplification fiscale
Initiative citoyenne
Réforme de simplification fiscale
Supprimer la CSG, la CRDS, et les cotisations sociales et patronales, en échange d’une augmentation de l’impôt sur le revenu pour atteindre une compensation intégrale (→ aucun coût pour les finances publiques). Élargir l’assiette de l’impôt sur le revenu (aux minima sociaux, aides familiales et à tous les revenus dont les dividendes) et appliquer un taux non nul pour la 1ère tranche pour que tous les Français contribuent. Le nouvel impôt sur le revenu s’appliquera donc sur l’actuel salaire super brut, pour être neutre sur les finances des entreprises. Les taux envisagés (à calculer par l’administration fiscale) s’étaleraient de 15 à 60 % sur 8 tranches.
→ L’impôt sur le revenu est progressif, donc plus équitable fiscalement, alors que la CSG est plafonnée,
→ Permet des économies administratives pour les entreprises et l’administration fiscale,
→ La sécurité sociale est déjà largement financée par l’État, donc supprimer les cotisations n’aura pas d’impact budgétaire, si ce n’est une réécriture comptable,
→ Supprime la trappe à bas salaires, due aux exonérations de cotisations patronales,
→ Impose une assiette large (si elle a été étendue), ce qui est plus efficace économiquement,
→ Pourrait permettre de réduire le nombre de fraudes,
→ Permet d’avoir un nouveau salaire brut correspondant au coût du salarié pour son entreprise et un salaire net correspondant au revenu réel du salarié,
→ En supprimant les cotisations, on supprime le système de retraite, ce qui obligera à prendre en compte les retraites comme partie intégrante des finances publiques,
→ Grâce à la détermination des tranches et taux, le gouvernement et le Parlement peuvent décider de réduire ou d’augmenter le taux d’imposition selon le niveau de revenu, pour réduire la fiscalité des entreprises / augmenter l’imposition des plus riches / favoriser les classes les moins aisées...,
→ Première étape avant une réduction de l’impôt sur le revenu en échange d’une réduction égale des aides versées aux entreprises (seconde étape de simplification fiscale, coût nul pour les finances publiques).
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