SECURITE SOCIALE : TRAHIE PAR LES POLITIQUES, PILLEE PAR LES PRIVILEGES - POUR UN RETOUR A LA JUSTICE CONTRIBUTIVE
Initiative citoyenne
SECURITE SOCIALE : TRAHIE PAR LES POLITIQUES, PILLEE PAR LES PRIVILEGES - POUR UN RETOUR A LA JUSTICE CONTRIBUTIVE
A l’attention du Gouvernement, du Parlement et des gestionnaires de la Sécurité sociale,
La Sécurité sociale française, née du travail et pour le travail, est aujourd’hui dévoyée, détournée et défigurée.
Ce n’est plus un pacte républicain, c’est devenu un guichet sans contrôle, où les cotisants paient pendant que d’autres encaissent - sans jamais avoir versé un centime.
Ce que nous dénonçons alors que la Sécurité sociale connaît une dette abyssale : plus de 113 milliards d’euros portés par l’ACOSS (URSSAF Caisse nationale) dès 2026
- Des soins gratuits pour des millions de non-contributifs, sans contrôle de résidence ni de régularité de séjour, à la charge des cotisants.
- Des dignitaires étrangers reçus sans facturation, alors que les hôpitaux publics sont en déficit chronique.
- Des centenaires fantômes à l’étranger, dont les pensions et droits continuent d’être versés sans preuve de vie réelle
- Des syndicats qui se servent dans les caisses, via des mécanismes opaques de gestion paritaire
- Des fraudes massives aux prestations sociales, estimées à plus de 25 milliards d’euros par an, dont 13 milliards que pour la Sécurité Sociale.
- Des cartes vitales surnuméraires, des identités fictives, des arrêts de travail frauduleux, des actes médicaux fictifs.
- Des soins programmés pour des étrangers sans assurance, pris en charge par les hôpitaux sans
provision, ni garantie.
- Des retraites versées à l’étranger sans vérification, avec des certificats d’existence falsifiés ou jamais reçus.
- Une crise de liquidité imminente, selon la Cour des comptes.
Exposé des demandes : pour une sécurité sociale équitable et assainie
1. Un audit rigoureux des bénéficiaires non cotisants doit être engagé. Il s’agit de faire la lumière sur les flux injustifiés et de rétablir la transparence dans l’attribution des soins et prestations.
2. La justification annuelle de résidence réelle doit être rendue obligatoire. Le maintien de droits sans présence effective sur le territoire conduit à des dérives inacceptables. Il est temps d’en finir avec les « droits fantômes ».
3. La facturation systématique des soins prodigués aux personnalités étrangères avec son suivi jusqu’au règlement est indispensable. Nos hôpitaux ne peuvent continuer à offrir des soins gratuits à des dignitaires fortunés, sans contrepartie, alors même que le déficit hospitalier explose.
4. Le contrôle des centenaires, et pré-centenaires, vivant hors de France doit être renforcé. Le versement de pensions et prestations doit être conditionné à la preuve vérifiable et régulière de la vie du bénéficiaire.
5. Chaque année, la gestion paritaire des caisses de Sécurité sociale implique des transferts financiers vers les organisations syndicales, via des moyens matériels, des mises à disposition et des indemnités. Le coût global atteint plusieurs millions d’euros, prélevés sur les fonds sociaux, sans transparence suffisante. Il est temps d’exiger une clarification de ce flux.
6. La lutte contre les fraudes sociales doit s’accompagner de sanctions pénales dissuasives. Trop longtemps tolérés, les abus fragilisent le pacte républicain et alimentent le ressentiment des cotisants.
7. Révision du modèle de financement. Stop à l’endettement, retour à la pérennité.
POURQUOI CETTE PETITION EST VITALE ?
Parce que la Sécurité Sociale n’est pas un guichet, c’est un pacte républicain. Parce que le citoyen ne peut plus être le seul à payer pour un système dévoyé. Parce que la santé ne peut pas être une marchandise, ni un privilège syndical.
« Quand le soin devient inaccessible, c’est la République qui devient invisible. »
SIGNEZ POUR UNE REMISE EN ORDRE DE NOTRE SYSTEME DE SANTE
Partager: