Et si on se parlait ? (Equité entre femmes et Hommes)
Initiative citoyenne
Et si on se parlait ? (Equité entre femmes et Hommes)
🟦 PÉTITION CITOYENNE : Et si on se parlait ? Pour une équité réelle entre les femmes et les hommes
À l’attention de Mesdames et Messieurs les députés, de tous partis confondus,
Aujourd’hui, la France progresse dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Des lois sont votées, des voix se libèrent, des campagnes voient le jour. Et c’est une bonne chose. Une avancée majeure. Une prise de conscience tardive, mais essentielle.
Mais qu’en est-il des hommes ?
Des hommes battus.
Des hommes humiliés.
Des pères séparés injustement de leurs enfants.
Des hommes accusés à tort, parfois détruits publiquement avant même qu’un juge ne se prononce.
Des hommes qui n’osent pas dire qu’ils souffrent, qu’ils pleurent, qu’ils tombent — parce que la société les a élevés à se taire.
Et si, à force de crier à la parité, on oubliait de vraiment l’appliquer ?
Aujourd’hui encore :
Un père doit lutter pour obtenir ne serait-ce qu’une garde partagée.
Un homme peut voir sa vie brisée par une accusation non fondée… pendant que celle qui ment sort du tribunal sans traces ni conséquence.
Un homme battu est encore perçu comme “faible”, “ridicule” ou "pas crédible", là où une femme battue est, à juste titre, soutenue et protégée.
Nous demandons simplement ceci : une justice réellement équitable.
Pas une justice à deux vitesses.
Pas une justice qui juge à partir du sexe, mais à partir des faits.
Pas une société qui oppose les genres, mais qui rassemble autour de la vérité.
🎯 NOS DEMANDES
Reconnaissance pleine et entière des hommes victimes de violences conjugales et psychologiques.
Accueil digne dans les commissariats.
Mise en place de centres d’écoute mixtes.
Campagnes de prévention à destination des hommes, sans tabou.
Traitement égalitaire des accusations de violences ou d’agressions.
Une enquête approfondie avant toute condamnation sociale.
Des sanctions pour les fausses accusations, au même titre que les faits réels.
Équité parentale dans les décisions de justice.
Faciliter la résidence alternée par défaut, sauf en cas de danger établi.
Favoriser la médiation familiale obligatoire avant tout conflit judiciaire.
Création d’un Observatoire national de la souffrance masculine, qui viendrait compléter les dispositifs existants en faveur de la parole des femmes.
📚 Pourquoi ce nom : Et si on se parlait ?
Parce que ce n’est pas un combat des femmes contre les hommes.
C’est un appel à construire ensemble, autrement.
À sortir des caricatures.
À arrêter les généralisations, les hontes étouffées, les injustices silencieuses.
À écouter toutes les voix — celles des femmes ET celles des hommes.
Je suis en train d’écrire un livre du même nom, que j’enverrai à l’Assemblée nationale. Ce livre portera des témoignages forts, des constats humains, des propositions réalistes. Il ne cherche pas à diviser, mais à éveiller. Pas à accuser, mais à rééquilibrer.
✍️ Signer cette pétition, c’est vouloir une France plus juste. Une France qui écoute vraiment. Une France où l’on ne parle plus à la place de, mais avec l’autre.
Parce que la justice, la vraie, ne porte ni jupe ni barbe. Elle doit porter un regard neutre, humain, et profondément équitable.
Et si, pour une fois, on se parlait… vraiment
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