POUR UNE FRANCE FORTE ET JUSTE : STOP AUX PRIVILÈGES, AU GASPILLAGE ET AUX DÉPENSES CONTRAIRES À LA NATION
Initiative citoyenne
POUR UNE FRANCE FORTE ET JUSTE : STOP AUX PRIVILÈGES, AU GASPILLAGE ET AUX DÉPENSES CONTRAIRES À LA NATION
Pétition citoyenne adressée au Président de l’Assemblée nationale et à l’ensemble des députés
Contexte
Le gouvernement a annoncé en juillet 2025 un plan d’« effort national » de 43,8 milliards €, reposant presque exclusivement sur :
- le gel d’une année de revalorisation des pensions,
- la suppression de jours fériés historiques,
- le doublement de la franchise médicale.
Pendant ce temps, l’État continue à entretenir :
- des privilèges parlementaires dépassés,
- des structures opaques et inefficaces,
- des associations et dispositifs étrangers à l’intérêt du peuple français,
- un millefeuille administratif ruineux,
- une fraude sociale et fiscale massives.
Nous, citoyennes et citoyens, exigeons que les efforts commencent par l’exemple, la justice et le patriotisme. Voici un plan de redressement crédible, détaillé, non partisan, qui permet de réaliser plus de 43,8 milliards € d’économies annuelles, à affecter à la baisse de la dette, à la souveraineté industrielle, à la protection sociale et à la défense.
PLAN STRUCTURÉ EN 5 BLOCS
ÉCONOMIES TOTALES CIBLÉES : ≈ 45 MILLIARDS €/AN
BLOC 1 : SUPPRESSION DES PRIVILÈGES POLITIQUES ET INSTITUTIONNELS (≈ 6,5 Mds €/an)
- Réduction d’un tiers du nombre de parlementaires (400 députés, 200 sénateurs), avec redécoupage impartial garantissant l’égalité de représentation → 420 M€
- Plafonnement de l’indemnité parlementaire à 4 500 € bruts/mois → 140 M€
- Suppression de l’avance de frais de mandat, remplacée par un remboursement plafonné à 2 000 € sur justificatifs → 390 M€
- Alignement des retraites et protections sociales des élus sur le régime général
- Réduction de 15 % des budgets de fonctionnement de l’Assemblée et du Sénat → 145 M€
- Suppression du CESE → 35 M€
- Réduction du train de vie de l’Élysée (126 → 110 M€) et des ministères (conseillers plafonnés à 10) → 30 M€
BLOC 2 : FERMETURE DES DÉPENSES ANTI-NATIONALES OU NON PRIORITAIRES (≈ 10,5 Mds €/an)
- Suppression totale des subventions aux associations immigrationnistes, communautaristes ou anti-policières → 1 Md€
- Recentrage de l’Aide médicale d’État (AME) sur les seuls cas urgents et vitaux → 900 M€
- Plafonnement de l’aide publique au développement (APD) à 3,5 Md€ (au lieu de 5,1 Md€) → 1,6 Md€
- Réduction de 33 % des aides directes à la presse → 190 M€
- Réduction de 50 % des aides à l’audiovisuel public (France TV, Radio France, etc.) → 1 Md€
- Réduction de 30 % du budget de France Médias Monde (audiovisuel extérieur) → 82 M€
- Suppression des 200 comités et conseils inutiles (“Théodule”) → 50 M€
- Suppression des subventions publiques aux projets culturels déconstructivistes ou non enracinés → 500 M€
BLOC 3 : RÉFORME DE L’ÉTAT ET DES AGENCES PUBLIQUES (≈ 12 à 15 Mds €/an)
- Gel des créations de postes dans l’administration centrale sur 3 ans (hors sécurité, santé, justice) → 3 Mds €
- Réduction de 10 % des effectifs de l’encadrement administratif de l’État et des collectivités → 5 Mds €
- Suppression/fusion de 25 % des agences publiques nationales peu évaluées (France Compétences, France Stratégie...) → 2 Mds €
- Suppression des doublons État-collectivités (compétences économiques, formation, etc.) → 2,5 à 3 Mds €
- Réduction de 50 % des dépenses de communication des ministères → 50 M€
BLOC 4 : LUTTE CONTRE LA FRAUDE SOCIALE ET FISCALE (≈ 10 à 13 Mds €/an)
- Contrôle massif des cartes Vitale, ayants-droits, fausses identités, fraude CAF → 5 à 6 Mds €
- Renforcement de la lutte contre la fraude à la TVA et aux montages fiscaux transnationaux → 3 à 4 Mds €
- Suppression de niches fiscales inefficaces ou détournées → 2 à 3 Mds €
- Création d’un registre unique des bénéficiaires réels des aides publiques (personnes et sociétés)
BLOC 5 : RÉVISION DES DÉPENSES NON STRATÉGIQUES EUROPÉENNES OU EXTÉRIEURES (≈ 2 Mds €/an)
- Refus des contributions exceptionnelles à des fonds européens hors PNB
- Cessation de certains cofinancements européens inadaptés aux intérêts stratégiques français (ex. aides agricoles délocalisées)
- Vérification systématique de l’impact national des programmes européens subventionnés
AFFECTATION DES ÉCONOMIES : UN FONDS FRANÇAIS POUR LA FRANCE
L’intégralité des économies sera affectée à un Fonds souverain de redressement national :
• Baisse de la dette publique
• Réindustrialisation des filières stratégiques (énergie, défense, santé, numérique)
• Relocalisations productives
• Soutien à la natalité française, aux familles, aux forces de sécurité
• Modernisation de la justice et de l’hôpital
Conclusion
Avant d’imposer des sacrifices à ceux qui travaillent, cotisent, élèvent, protègent et produisent, l’État doit montrer l’exemple.
Ce plan est patriote, responsable, chiffré et moralement nécessaire.
Nous demandons son adoption immédiate. Signez, partagez et faites entendre la voix des Français lucides et attachés à leur pays.
Partager: