25 à 40 milliards d’économies : et si on réformait l’État plutôt que les citoyens ?
Initiative citoyenne
25 à 40 milliards d’économies : et si on réformait l’État plutôt que les citoyens ?
En France, les dépenses publiques représentent plus de 57 % du PIB, un record mondial hors crise. Pourtant :
- Les hôpitaux publics sont saturés,
- L’école peine à remplir ses missions,
- Les aides sociales sont complexes, mal ciblées et sources de fraudes,
- Les efforts demandés aux citoyens ne cessent d’augmenter : cotisations, impôts, carrières rallongées, remboursement réduits…
Et si le problème venait d’abord de l’organisation de l’État lui-même ?
Un système désorganisé, coûteux et inefficace
Aujourd’hui, l’action publique est dispersée entre plusieurs niveaux (commune, intercommunalité, département, région, État, agences), sans coordination claire.
Résultat :
- Des décisions redondantes, des structures qui se chevauchent
- Des politiques publiques sans évaluation sérieuse de leur efficacité
- Des milliards d’euros dépensés sans amélioration des services
- Une administration kafkaïenne où chacun travaille, mais trop souvent sans vision d’ensemble.
Un potentiel d’économies massif : 25 à 40 milliards d’euros par an.
Selon les rapports de la Cour des comptes, de France Stratégie, de l’Inspection Générale des Finances ou d’experts indépendants, on pourrait économiser :
- 10 à 15 milliards € en supprimant les doublons territoriaux (départements/régions/intercommunalité)
- 3 à 5 milliards € en regroupant les aides sociales sous une agence unique automatisée liée au fisc
- 5 à 7 milliards € en réformant le financement des hôpitaux (T2A) au profit d’un pilotage basé sur la qualité réelle des soins
- 7 à 10 milliards € en supprimant ou fusionnant les agences publiques redondantes et en mutualisant les fonctions
Et cela sans dégrader les services — bien au contraire.
Ce que nous demandons
Un véritable débat parlementaire pour poser les bases d’une réforme structurelle de l’État et des services publics.
- La simplification territoriale : vers la suppression du département ou sa fusion avec la région,
- Une agence unique des aides sociales, connectée aux données fiscales, pour plus de simplicité et d’équité,
- Une autonomie de gestion accrue pour les hôpitaux, avec un financement indexé sur les résultats médicaux,
- Une obligation d’évaluation systématique des politiques publiques,
- Un plan de suppression des doublons administratifs.
Pourquoi maintenant ?
Parce qu’aucune réforme des retraites, aucun rabot budgétaire, aucune restriction de droits sociaux ne suffira tant que l’État lui-même n’est pas réformé.
Depuis des décennies, on demande toujours plus aux citoyens, sans jamais s’interroger sérieusement sur le fonctionnement de la machine publique.
Les Français ne sont pas contre l’impôt, ils sont contre l’inefficacité.
Signez cette pétition
Pour que les efforts des citoyens soient respectés,
Pour que l’argent public serve mieux,
Pour que les services publics fonctionnent vraiment,
Et pour que la réforme ne soit pas synonyme de sacrifice, mais d’intelligence collective.
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