Demande de moratoire sur l’obligation vaccinale des nourrissons en France
Initiative citoyenne
Demande de moratoire sur l’obligation vaccinale des nourrissons en France
Nous, citoyens français, parents, professionnels, personnes concernées ou simplement engagées dans la protection des libertés et de la santé publique, vous adressons cette demande solennelle en vue d’un moratoire sur l’obligation vaccinale imposée aux nourrissons, désormais élargie à treize vaccins depuis 2025.
Animés par un sens aigu de notre responsabilité citoyenne et parentale, nous considérons que cette obligation, fondée sur des arguments souvent insuffisamment débattus ou scientifiquement discutables, doit faire l’objet d’une réévaluation rigoureuse, indépendante et publique.
Face à l’augmentation préoccupante de la mortalité infantile (2700 en 2024, dont des morts subites du nourrisson), aux effets indésirables rapportés, et à l’opacité entourant certaines décisions sanitaires, il nous semble urgent d’examiner les fondements de cette politique vaccinale selon quatre axes majeurs : les résurgences épidémiques, la toxicité potentielle des vaccins, la réalité de l’immunité collective et l’efficacité réelle des vaccins obligatoires.
1. Des résurgences épidémiques instrumentalisées
La justification principale avancée repose sur la prétendue résurgence de maladies infectieuses. Pourtant, les données historiques montrent que la majorité de ces maladies (et des formes graves) avaient déjà considérablement décliné avant même l’introduction des vaccins. L’exemple des courbes épidémiologiques de la rougeole et de la diphtérie, par exemple, en témoigne clairement.
Plus récemment, l’obligation vaccinale contre le méningocoque B a été imposée en 2025 au nom d’une reprise des cas. Or, les données de Santé publique France montrent un retour aux niveaux d’avant COVID-19, sans tendance significative à la hausse. Entre 2007 et 2016, on observa même un recul, bien que la vaccination ne fût ni obligatoire ni expressément recommandée.
Pis encore, dans certains cas, l’on évoque l’efficacité d’un vaccin en se fondant sur un taux élevé d’anticorps, alors qu’un tel taux ne garantit nullement une protection effective contre la maladie. De plus, il est possible de produire des anticorps facilitants (opposé de l’effet recherché par la vaccination) lesquels peuvent, en réalité, aggraver la situation.
Pour apprécier la véritable efficacité des vaccins, se reporter à la partie 4 ci-dessous. Ces éléments remettent en question l’argument de « résurgence épidémique » comme base suffisante à l’obligation.
2. Une toxicité mal évaluée, des risques sous-estimés
Les vaccins sont des produits biologiques complexes contenant des adjuvants, dont l’innocuité n’est pas établie de façon uniforme pour tous les individus. Le cas de l’aluminium, adjuvant commun à plusieurs vaccins, est emblématique. Injecté (et non ingéré), il franchit les barrières physiologiques et tend à s’accumuler dans les tissus, notamment cérébraux. Selon les données de l’OMS et les recommandations de toxicologie, les doses actuellement injectées chez les nourrissons excèdent largement les seuils de sécurité estimés pour la voie injectable.
Par ailleurs, la diversité génétique de la population (notamment à travers le système HLA) implique des réponses immunitaires très hétérogènes aux antigènes. Cette réalité biologique rend inadaptée l’application universelle d’un protocole vaccinal standardisé, comme l’ont reconnu plusieurs chercheurs, dont le prix Nobel Jean Dausset.
3. Une immunité collective surévaluée, voire inopérante
L’obligation vaccinale est souvent justifiée au nom d’une « protection des autres ». Pourtant, cette notion ne résiste pas à l’analyse scientifique pour plusieurs vaccins actuellement obligatoires. Le vaccin contre la diphtérie, par exemple, ne bloque pas la transmission de la bactérie. Celui contre le tétanos ne protège que l’individu, et non la collectivité, car la maladie n’est pas contagieuse.
Même le cas de la poliomyélite illustre les limites de l’argument collectif : le vaccin inactivé actuellement utilisé (VPI) n’empêche pas la transmission intestinale du virus, contrairement à l’ancien vaccin oral (VPO) désormais abandonné en France. Et, que peut-on dire de l’obligation vaccinale contre l’hépatite B chez les nourrissons, qui ne sont ni exposés à des rapports sexuels, ni à un risque de contamination sanguine, et dont la mère n’a pas transmis la maladie ?
Ces exemples appellent à un examen honnête et rigoureux de la notion d’immunité collective.
4. Une efficacité non démontrée selon les standards scientifiques
L’efficacité d’un vaccin doit être démontrée par des essais cliniques rigoureux, randomisés, en double aveugle, avec groupe placebo et un nombre significatif de participants. Or, plusieurs vaccins obligatoires, comme le Bexsero (le fabricant reconnaît lui-même que le vaccin n’a pas fait l’objet d’essais cliniques), ont été autorisés sans passer par cette méthode de référence. Leur efficacité repose souvent sur des mesures indirectes, comme la production d’anticorps, qui ne garantit pas une immunité réelle ni une absence de formes graves.
De plus, certains phénomènes comme le remplacement épidémique (l’apparition de souches non couvertes par le vaccin) ou le déplacement de l’âge des infections (rendant plus vulnérables les nourrissons ou les personnes âgées) soulèvent des inquiétudes quant aux effets systémiques de la vaccination obligatoire de masse.
Conclusion
Nous ne sommes ni antivaccins, ni adeptes de la désinformation. Nous demandons simplement une réévaluation honnête, transparente et pluraliste de la politique vaccinale imposée aux plus jeunes. Il en va de la santé de nos enfants, de la confiance dans les institutions et du respect de la liberté médicale.
Nous sollicitons donc, en tant que citoyens, un moratoire immédiat sur l’obligation vaccinale des nourrissons, en attendant :
- Une commission d’enquête parlementaire sur la justification scientifique et sanitaire des obligations vaccinales actuelles ;
- Un débat public et contradictoire impliquant des chercheurs indépendants, des associations de patients, et des représentants de la société civile ;
- Une évaluation de l'efficacité réelle selon LA méthode de référence, et des effets indésirables recensés par les centres de pharmacovigilance (bien que seulement 1 à 10 % des effets sont réellement signalés).
En démocratie, l’obligation ne peut être légitime que si elle repose sur la vérité, la transparence et le consentement éclairé. Ce principe fondamental est aujourd’hui mis en péril.
Nous vous demandons d’agir.
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