Contre l'euro numérique
Initiative citoyenne

Contre l'euro numérique
Nous sommes à un moment crucial.
La Banque centrale européenne prépare un "euro numérique" CBDC (Monnaie Numérique de Banque Centrale) pour remplacer partiellement ou totalement l'euro actuel.
Cela pourrait avoir des conséquences énormes pour nous tous.
Il ne s'agit pas seulement d'un changement technique. L'euro numérique serait sous le contrôle direct de la banque centrale.
Cela signifie que toutes les transactions pourraient être surveillées et que les transactions que le gouvernement n'approuve pas pourraient éventuellement être bloquées.
Et cela ouvre la porte à toutes sortes d'abus, comme l'UE qui décide que vous ne pouvez dépenser qu'un budget limité pour la viande ou le carburant chaque mois pour promouvoir l'agenda climatique.
Ou - dans le pire des cas - le gouvernement qui peut geler votre compte en appuyant sur un bouton, si vous êtes déclaré "suspect" pour une raison ou une autre.
Grâce à l'intelligence artificielle, cela pourrait même se produire automatiquement, sur la base d'une ou plusieurs transactions "suspectes".
Cela pourrait aussi signifier que l'argent a une date d'expiration.
Vous devrez alors le dépenser pour stimuler l'économie, sinon il deviendra sans valeur. Mettre de l'argent de côté pour plus tard devient alors impossible.
Il est clair que nous ne pouvons pas simplement laisser cela nous arriver.
C'est pourquoi nous devons exiger un référendum, afin que chaque citoyen puisse avoir son mot à dire sur une question qui le touche si profondément.
La France devrait-elle adopter l'"euro numérique" CBDC de la BCE, oui ou non ?
L'organisation d'un référendum stimulerait le débat public, permettant à chacun d'être bien informé sur les inconvénients d'une CBDC.
Ce choix est tout aussi fondamental que celui pour ou contre la Constitution européenne, sur lequel un référendum a été organisé en 2005.
Selon le site web de la BCE, la phase de recherche se termine en octobre et une décision devra être prise.
Nous devons donc mettre le maximum de pression sur notre gouvernement avant cette date.
Il est inadmissible que nous soyons de nouveau embarqués dans une telle situation.
Nous ne pouvons pas laisser cela arriver.
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