Pour l’inscription de cet article comme épitaphe de la 5ème République et prologue de la 6ème
Initiative citoyenne

Pour l’inscription de cet article comme épitaphe de la 5ème République et prologue de la 6ème
« Tous les êtres humains, géocitoyens, deviennent fraternellement libres et égaux en droits pour demeurer concrètement en dignité. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune, à partir du moment où la satisfaction de la condition de dignité humaine est garantie pour chaque individu le désirant, c’est-à-dire se loger, se nourrir et se désaltérer, se déplacer, se soigner, s’éduquer et finalement s’entretenir. »
Pourquoi ce texte ?
Tout d’abord, les premiers articles des textes fondamentaux mentionnent la dignité en ces termes :
DDHC : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. »
CDFUE : « La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »
DUDH : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »
Dans ces déclarations il n’est nullement disposé que :
- la dignité doit demeurer,
- la fraternité permet aux Hommes ou êtres humains de devenir libres et égaux,
- la satisfaction de la condition humaine se décline concrètement en six points,
- la citoyenneté se fonde sur le respect de la terre.
Par conséquent, cette épitaphe et ce prologue mélioratifs à portée universelle se doivent d’être inscrits comme fondement de notre bloc de constitutionnalité.
Que vous soyez conservateur ou progressiste, il est indéniable que les valeurs de la République française ont inspiré le monde à un moment donné de l’histoire.
Le temps est venu pour notre patrie de vaincre, par le droit, l’obscurantisme qui mène à l’oppression et l’injustice.
Pour la gloire de notre Peuple,
Merci de votre soutien.
Cette pétition a été classée par la commission :
Conformément à la décision prise par le bureau de la Commission des lois lors de sa réunion du 5 juillet 2022, toute pétition n’ayant pas recueilli au moins cinq mille signatures dans un délai de six mois après son dépôt fait l’objet d’un classement d’office.