Violation des libertés fondamentales dans le cadre de la répression des mouvements de protestation contre la réforme des retraites
Initiative citoyenne
Violation des libertés fondamentales dans le cadre de la répression des mouvements de protestation contre la réforme des retraites
Depuis la réforme des retraites, des mouvements de protestation ont émergé dans tout le pays, comprenant des manifestations et des grèves qui défendent les droits des travailleurs et les valeurs sociales françaises.
Cependant, au lieu de traiter ces manifestations avec respect et objectivité, les autorités ont en grande partie adopté une position autoritaire et oppressive envers les manifestations, utilisant plusieurs mesures illégitimes pour les réprimer. Ces mesures incluent des arrêtés préfectoraux illégaux qui violent les libertés fondamentales des citoyens et aboutissent à des violations massives des droits de l'homme.
Effectivement des arrêtés préfectoraux interdisent les manifestations sans respecter les lois françaises qui régissent cette pratique. Ils sont souvent motivés par des prétextes assez vagues et sans réelle justification, tels que la préservation de l'ordre public ; ce qui est une violation de la liberté de réunion et d'expression. L'exemple le plus récent est la tentative d'interdiction de manifestation par la préfecture de Lyon, désavouée par le Tribunal administratif de Lyon.
En outre, les autorités ont recours à la violence et à la répression pour empêcher les manifestants de s'exprimer librement. Les stratégies violentes incluent l'utilisation de gaz lacrymogène et de matraques contre les manifestants, ainsi que l'arrestation de nombreux manifestants pacifiques. Ces actes de répression sont en violation flagrante des lois internationales relatives aux droits de l'homme et à la liberté d'expression.
De plus, il est important de souligner que les médias sont souvent empêchés de faire leur travail et de couvrir les manifestations de manière objective, ce qui viole la liberté de la presse. En effet, les journalistes peuvent également être arrêtés ou frappés par les forces de police, ce qui nuit à leur capacité de couvrir de manière impartiale ces événements.
Dans ce contexte, j'appelle à une réaction rapide des tribunaux et de la société civile pour dénoncer en masse les arrêtés préfectoraux illégaux et les autres mesures autoritaires utilisées par les autorités françaises pour réprimer les mouvements de protestation. Nous devons tous travailler ensemble pour garantir le respect des libertés fondamentales des citoyens et empêcher que les actions du gouvernement ne portent atteinte aux droits de l'homme.
Cette pétition a été classée par la commission :
Conformément à la décision prise par le bureau de la Commission des lois lors de sa réunion du 5 juillet 2022, toute pétition n’ayant pas recueilli au moins cinq mille signatures dans un délai de six mois après son dépôt fait l’objet d’un classement d’office.