Pour une définition de la laïcité dans la constitution
Initiative citoyenne
Pour une définition de la laïcité dans la constitution
Considérant que le manque de courage du débat législatif, raisonné et raisonnant, nuit au libre devenir des démocraties par la dévitalisation des notions émancipatrices fondamentales.
Considérant que les représentations opportunément clownesques et grassement payées, dans un écho d’un culte du soi, de son louvoiement et de ses fallacieuses tergiversations, n’ont historiquement favorisées que les tyrannies, les répressions et les censures du prêt-à-penser démagogique pour des conséquences nuisant aux libertés, à l’égalité et à la dignité des singularités citoyennes.
Considérant que tant la précipitation que l’inaction contradictoire par l’excuse, la pierre d’achoppement ou la déresponsabilisation n’ont toujours apporté que des crises empruntes de conflits d’intérêts et des injustices à même de favoriser la déliquescence sociétale.
Considérant qu’une démocratie n’est en aucun cas le culte de la personne providentielle ou présidentielle.
Considérant qu’une constitution n’est l’expression interprétative ni d’un laxisme ni d’une terreur.
Définition de la laïcité dans la constitution (discuté par l’Assemblée nationale et le Sénat puis à soumettre à approbation citoyenne par voie de référendum)
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La Laïcité c’est :
1 – Un État a-confessionnel qui n’a par lui même aucune position et représentation d’un quelconque commandement croyant, rituel ou symbolique à même de se confondre en institution de foi, de culte ou d’abnégation de soi.
2 – La garantie d’une digne scolarisation émancipant l’esprit critique et le libre arbitre des citoyens dans un environnement de tolérance, ni prosélyte ni profane ni sectaire, afin d’apprendre à se distancer des formes de conditionnement tant de l’esprit que du symbolisme consistant à promulguer un déterminisme contraint ou un mysticisme emprunt de certitudes exsangues d’existences irréfutables de faits tangibles ou de raisonnements contradictoirement démontrés.
3 – Le fait que des associations/communautés/représentants de croyances ne peuvent se prévaloir, dans la forme comme dans le fond, comme des organisations juridiques et de gouvernance citoyenne.
4 - La défense, contre toute atteinte, des singularités croyantes respectant : les libertés, l’égalité et la dignité citoyenne.
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Création d’une contravention, d’un délit, d’un crime et d’un terrorisme contre la laïcité en lieu et place des mots « religions »-phobie / antisémite / islamiste / etc .. qui loin de donner sens dans les responsabilités humaines, communautarisent, clivent et attisent les haines dans d’actes et positions déniant toute humanité à l’autre différence.
Cordialement
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