Diminuer le chômage de complaisance en imposant aux sans-emplois de participer à des tâches simples
Initiative citoyenne

Diminuer le chômage de complaisance en imposant aux sans-emplois de participer à des tâches simples
Certaines personnes deviennent volontairement sans emploi, régulièrement dans leur parcours professionnel, afin de percevoir de l'argent sans travailler.
Le nombre de ces chômeurs abusifs diminuerait si on leur imposait, en contrepartie de leurs allocations, de se lever tous les jours pour effectuer pendant une demi-journée (le reste étant réservée à la recherche d'emploi, aux entretiens) des tâches qui leurs seraient accessibles, et qui soulagerait la société :
* Nettoyer les locaux publics, les rivières, les autoroutes, etc.
* Conduire des personnes en mobilité réduite
* Assistance aux équipes de sécurité/sûreté
* Assistance aux personnes âgées pour leurs démarches administratives
etc...
Cela empêcherait les chômeurs de s'isoler chez eux et créerait du lien social.
Les personnes qui voulaient ne rien faire chez eux tout en étant payées par le contribuable seront découragées de devoir effectuer des tâches ne correspondant pas à leurs compétences, tout en percevant moins d'argent que lorsqu'ils avaient un emploi. Cela les pousse à chercher plus vite.
Pourquoi être payés par la France sans contribuer à cette dernière ?
Les personnes sans emploi peuvent aider sur des postes pour lesquels la France n'investit pas d'argent de toute façon à ce moment. Ceci afin de ne pas faire de concurrence déloyale aux entreprises publiques ou privées qui auraient autrement été engagées pour réaliser ces tâches.
Modalités :
Les 2 premiers mois de chômage, pas de travaux d'intérêts généraux.
Ensuite, tant que la personne reçois ses allocations chômage, elle doit se présenter quotidiennement à ses tâches et les effectuer le matin.
Les villes, collectivités, et l'État seraient ceux qui fourniraient la liste des tâches pour lesquelles il y a un manque de personnel.
Cette pétition a été classée par la commission :
Conformément à la décision prise par la Commission des affaires sociales, toute pétition n’ayant pas recueilli plus de dix mille signatures dans un délai de six mois après son dépôt fait l’objet d’un classement d’office.